- soit divisibles par 4 mais non divisibles par 100
- soit divisibles par 400.
- soit non divisibles par 4
- soit divisibles par 100, mais pas par 400.
Le calendrier Julien, qui avait cours avant le calendrier actuel, ne distinguait pas les fins de siècles (années divisibles par 100). Une année était bissextile tous les 4 ans, sans autre exception. Le calendrier julien avait ainsi une année moyenne de 365,25 jours, au lieu des 365,2422 jours nécessaires au cycle terrestre. Ce qui a engendré l'accumulation d'une dizaine de jours de retard en quinze siècles.
Le pape Grégoire XIII n'y est pas allé par quatre chemins et afin de couper court aux discussions interminables des savants, il a décider que des jours et nuits seraient simplement éliminer pour rectifier les dates.
L'instauration du calendrier Grégorien a permis d'une part de rattraper le retard en supprimant des jours, et d'autre part de ralentir le rythme en supprimant 3 années bissextiles tous les 400 ans. Ce calendrier grégorien offre selon les règles énoncées une année moyenne de 365,2425 jours, ce qui est encore un peu trop long, mais n'engendre qu'une erreur de 3 jours en 10 000 ans.
Cet ajustement a permis de sauter du 4 octobre au 15 octobre 1582, nuit du décès de Sainte Thérèse d’Avila.
Une année bisextile
est une année civile de 366 jours au lieu de 365.
Compte-tenu que
l'année astronomique est de 365 jours et 6 heures et quelques minutes, et non
365,0 jours, il a été instauré le calendrier Grégorien (à l'initiative du pape
Grégoire, au 16ème siècle) pour re-synchroniser l'année astronomique avec
l'année civile.
La règle consiste à
ajouter un jour à l'année calendaire tous les 4 ans (4x6h.=1 jour), le fameux
29 Février. Une exception a été prévue pour ajouter un autre jour
supplémentaire pour les années séculaires dont le siècle est divisible par 4
(2000 était bisextile - 20/4=5 alors que 1900 ne l'était pas car 19 n'est pas
divisible par 4).
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