vendredi 26 août 2011

Les éléments



Les douze signes du zodiaque se trouvent dans quatre éléments différents : feu, terre, air et eau.
Le feu
Le Bélier, le Lion et le Sagittaire sont en feu et cependant ne dégagent pas la même chaleur.
Le Bélier, premier signe du printemps est plein de fougue, de dynamisme, de désir d’actions. Son feu brûle mais ne réchauffe pas.

Pour que le feu soit plus réconfortant, il faut pour cela transiter par les idées, la réflexion apaisée et les émotions de la famille et rejoindre le Lion. Au milieu de l’été, le Soleil est à son apogée, il réchauffe, bronze les corps pâles, permet aux jeunes et moins jeunes de profiter de la nature. La chaleur du Lion réchauffe, anime et réconforte.

L’été va s’écouler et à la rentrée, il faudra mettre en œuvre les bonnes résolutions,  reprendre les relations, renouer les contacts et probablement faire le point de ce que nous sommes au plus profond de nous-mêmes.

L’automne est arrivé, il faut faire des projets pour l’hiver et le Sagittaire, d’une sagesse douce nous guide avec discernement vers nos buts, nos objectifs. Il est un peu comme un châle qui recouvre nos épaules et nous accompagne vers les froideurs de l’hiver.

La terre

Les signes de terre sont le Taureau, la Vierge et le Capricorne.

Tout comme le feu, les signes en terre sont différents les uns des autres. La terre du  Taureau est pleine d’espoir, de renouveau, les premières pousses sortent des sillons, la terre et humide et prépare les récoltes. Il n’y a pas d’agitation, elle se réveille et nous promet les récoltes
.
A la rentrée de l’automne, la terre de la Vierge nous donne de beaux fruits que nous pourrons garder dans les mois de lumière courte, des raisins, des noix, des poires, des pommes. Les fruits fragiles de l’été sont plus d’actualité. Nous sommes dans la terre d’ajustement, de provisions, de réserve. On ne gaspille pas, la Vierge est économe et prévoyante.

Et puis l’hiver est venu, la terre du Capricorne se repose en prévision du printemps prochain. C’est une terre de réflexion, de questionnement quant à la qualité du travail accompli pendant l’année.

L’air

Les signes d’air sont le Gémeaux, la Balance et le Verseau

En juin, l’air embaume du parfum des fleurs et le Gémeaux qui ne sait rester en place s’agite, veut tout voir, tout découvrir, les voyages, les expositions, les derniers films à l’affiche, faire de nouvelles connaissances, inviter les amis à partager ses repas. L’ai de l’été ne porte pas à la réflexion, mais à la découverte sans approfondissement.

A la rentrée de l’automne les journées raccourcissent et la Balance est souvent tristounette et mélancolique. Elle contacte ses amis, relis ses contrats, joue les intermédiaires dans les discussions animées. La Balance déteste les conflits et prend sur elle-même pour ramener la paix. Son problème est de vouloir l’impossible, à savoir faire plaisir à tout le monde et c’est ainsi que Pâris déclenche la guerre de Troie !

L’hiver est là et en février les journées ont bien rallongé. Le Verseau est plein d’idées, de nouveautés plus ou moins réalisables. Là où il se trouve, les idées fusent. Dans une réunion, alors que tout le monde est d’accord et que les participants s’apprêtent à s’en aller, le Verseau a l’idée qui oblige tout le monde à se rasseoir.

L’eau

Les signes d’eau sont le Cancer, le Scorpion et les Poissons.

L’eau est le seul élément incompressible, élément compensateur du feu sans qui tout ne serait que cendres. 

La première eau du Cancer est fraîche, celle des rivières, des cascades renouvelée par la fonte des neiges, celle qui nourrit la terre et sans qui rien ne pousserait. Le Cancer est le seul animal dont la carapace est extérieure pour protéger ses fonctions vitales.

En Novembre, quand tombent les feuilles, les lacs, les étangs semblent dormir sous les reflets mordorés du soleil dont les rayons ne brûlent plus, mais sous cet aspect endormi, la vie est intense et grouillante. Ce n’est pas une eau dans laquelle on aurait envie de se baigner.

L’eau la plus dévastatrice est celle des Poissons. Aucune limite, aucune frontière, l’eau déborde et envahit tout l’être. La générosité, la bonté, la disponibilité sans borne fait souvent que le Poissons devient son propre bourreau. Mais gare ! Dans l’eau du Poissons nagent le petit poisson rouge et le pirañha.

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