Les douze signes du zodiaque se trouvent dans quatre
éléments différents : feu, terre, air et eau.
Le feu
Le Bélier, le Lion et le
Sagittaire sont en feu et cependant ne dégagent pas la même chaleur.
Le Bélier, premier signe du
printemps est plein de fougue, de dynamisme, de désir d’actions. Son feu brûle
mais ne réchauffe pas.
Pour que le feu soit plus réconfortant, il faut pour cela
transiter par les idées, la réflexion apaisée et les émotions de la famille et rejoindre
le Lion. Au milieu de l’été, le Soleil est à son apogée, il réchauffe, bronze
les corps pâles, permet aux jeunes et moins jeunes de profiter de la nature. La
chaleur du Lion réchauffe, anime et réconforte.
L’été va s’écouler et à la rentrée, il faudra mettre en
œuvre les bonnes résolutions, reprendre
les relations, renouer les contacts et probablement faire le point de ce que
nous sommes au plus profond de nous-mêmes.
L’automne est arrivé, il faut faire des projets pour l’hiver
et le Sagittaire, d’une sagesse douce nous guide avec discernement vers nos
buts, nos objectifs. Il est un peu comme un châle qui recouvre nos épaules et
nous accompagne vers les froideurs de l’hiver.
La terre
Les signes de terre sont le Taureau, la Vierge et le Capricorne.
Tout comme le feu, les signes en terre sont différents les
uns des autres. La terre du Taureau est
pleine d’espoir, de renouveau, les premières pousses sortent des sillons, la
terre et humide et prépare les récoltes. Il n’y a pas d’agitation, elle se
réveille et nous promet les récoltes
.
A la rentrée de l’automne, la terre de la Vierge nous donne
de beaux fruits que nous pourrons garder dans les mois de lumière courte, des
raisins, des noix, des poires, des pommes. Les fruits fragiles de l’été sont plus
d’actualité. Nous sommes dans la terre d’ajustement, de provisions, de réserve.
On ne gaspille pas, la Vierge est économe et prévoyante.
Et puis l’hiver est venu, la terre du Capricorne se repose
en prévision du printemps prochain. C’est une terre de réflexion, de
questionnement quant à la qualité du travail accompli pendant l’année.
L’air
Les signes d’air sont le Gémeaux, la Balance et le Verseau
En juin, l’air embaume du parfum des fleurs et le Gémeaux
qui ne sait rester en place s’agite, veut tout voir, tout découvrir, les
voyages, les expositions, les derniers films à l’affiche, faire de nouvelles
connaissances, inviter les amis à partager ses repas. L’ai de l’été ne porte
pas à la réflexion, mais à la découverte sans approfondissement.
A la rentrée de l’automne les journées raccourcissent et la
Balance est souvent tristounette et mélancolique. Elle contacte ses amis, relis
ses contrats, joue les intermédiaires dans les discussions animées. La Balance
déteste les conflits et prend sur elle-même pour ramener la paix. Son problème
est de vouloir l’impossible, à savoir faire plaisir à tout le monde et c’est
ainsi que Pâris déclenche la guerre de Troie !
L’hiver est là et en février les journées ont bien rallongé.
Le Verseau est plein d’idées, de nouveautés plus ou moins réalisables. Là où il
se trouve, les idées fusent. Dans une réunion, alors que tout le monde est
d’accord et que les participants s’apprêtent à s’en aller, le Verseau a l’idée
qui oblige tout le monde à se rasseoir.
L’eau
Les signes d’eau sont le Cancer, le Scorpion et les Poissons.
L’eau est le seul élément incompressible, élément
compensateur du feu sans qui tout ne serait que cendres.
La première eau du Cancer est fraîche, celle des rivières,
des cascades renouvelée par la fonte des neiges, celle qui nourrit la terre et sans
qui rien ne pousserait. Le Cancer est le seul animal dont la carapace est
extérieure pour protéger ses fonctions vitales.
En Novembre, quand tombent les feuilles, les lacs, les
étangs semblent dormir sous les reflets mordorés du soleil dont les rayons ne
brûlent plus, mais sous cet aspect endormi, la vie est intense et grouillante. Ce
n’est pas une eau dans laquelle on aurait envie de se baigner.
L’eau la plus dévastatrice est celle des Poissons. Aucune
limite, aucune frontière, l’eau déborde et envahit tout l’être. La générosité,
la bonté, la disponibilité sans borne fait souvent que le Poissons devient son
propre bourreau. Mais gare ! Dans l’eau du Poissons nagent le petit
poisson rouge et le pirañha.
Merci à ta mémoire
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